* Résumé de l'article généré automatiquement, vous pouvez prendre connaissance de l'article original en cliquant sur le bouton ci dessous :

C’est une nouvelle arme qui viendrait renforcer l’arsenal déjà existant pour traquer les fraudeurs fiscaux. L’administration fiscale pourrait désormais investir les réseaux sociaux. "Avant, il était impossible à l’administration de consulter des informations sur des sites internets qui nécessitaient un mot de passe et un login. Demain, l’administration va pouvoir", confie Benoît Perrin, directeur général de Contribuables associés.