L’Union européenne aurait pu profiter du renouvellement de la loi sur l’espionnage, aux États-Unis, pour imposer plus de garanties pour les Européens et leurs données, massivement accessibles aux agences fédérales de renseignement. Mais l’occasion a été manquée, regrette Max Schrems, célèbre juriste autrichien à l’origine des arrêts « Schrems 1 » et « Schrems 2 », que nous avons interviewé.