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La digitalisation croissante des échanges et des documents entraine une mutation progressive de la vie des affaires. Ce changement a conduit le secteur bancaire à s’adapter en généralisant l’intégration des technologies de l’information. La signature électronique en constitue un exemple majeur. Elle promeut une facilitation, une sécurisation et une accélération du processus contractuel. Pour autant, comme le rappelle la Cour d’appel d’Orléans le 8 juin 2023, la signature électronique nécessite la réunion de conditions précises pour garantir que l’acte signé soit opposable à l’emprunteur.